Geschichtlicher Überblick der Schmiedengasse
Aperçu historique de la rue des Maréchaux
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Die Häuser an der Südseite der Schmiedengasse gehörten zumeist einflussreichen Bieler Geschlechtern, so die Nr. 4 der Familie Römerstal, die mehrere Meier stellte, dann den Wyttenbach, der Familie Rother und schliesslich seit 1785 den Heilmann. Die Häuser Nr. 6 bis 12 waren im 15. und 16. Im Besitz der Familie Wyttenbach. Nr. 8 gehörte 1704 dem fürstlichen Schaffner Jakob Wildermeth. Im Hof steht der Brunnen mit dem Allianzwappen Spyrer/Wyttenbach und der Jahrzahl 1610, der ursprünglich in Nr. 4 stand. Die Nr. 10 hinterliess Junker Niklaus Wyttenbach seinem Schwiegersohn Abraham Scholl, Bürgermeister. 1790 liessen die Gebrüder Moser durch Samuel Imhof aus Bern das Haus im Hugenottenbarock neu erstellen. Durch Erbfolge kam es an die Familie Heilmann und von dieser an die Familie Lanz. Im Keller trägt eine Säule die Jahreszahl 1579, der Türsturz über der Kellertür die Jahreszahl 1612. Im Hof schmiedeeisernes Chorgitter aus dem Kloster Bellelay von Schmiedemeister Humbert Bacon aus Delémont (um 1710). Es diente lange als Gartentor der Wildermethschen Besitzung an der Juravorstadt. (1)
Am unteren Ende der Schmiedengasse stand bis 1843 der Zeitglockenturm. Er diente ursprünglich als Stadttor und wurde nach dem Bau des Pasquarttores zum Käfigturm degradiert. 1623 erhielt er von Uhrmacher Rapp aus Stuttgart eine Uhr mit 4 Zeigern nach allen Winden und dazu eine Glocke von 5 Zentnern. 1640 wurde vom Turm bei einer Renovation ein Helm aufgesetzt. Wegen Baufälligkeit und zur Öffnung der Schmiedengasse als Verkehrsache wurde er 1842 abgebrochen. Uhr, Glocke und Turmhelm kamen auf den alten Pulverturm hinter dem Theater. Zwischen 1417 und 1745 stand ausserhalb des Turms gegen die Mühlebrücke das Gemeindespital. Niklaus Heilman richtete darin 1745 die erste Buchdruckerei Biels ein. (1)
Les maisons situées du côté sud de la Rue des Maréchaux appartenaient pour la plupart à des familles biennoises influentes. Ainsi au No 4 la famille Römerstal dont furent issus plusieurs maires, puis les Wyttenbach, une famille Rother et finalement, depuis 1785, Niklaus Heilman. Les maisons Nos 6 à 12 furent la propriété de la famille Wyttenbach aux 15e et 16e siècles. En 1704, le No 8 appartenait à Jakob Wildermeth, économe du prince. Dans la cœur du No 8, fontaine avec les armoiries symbolisant l’alliance des familles Syprer et Wyttenbach (se trouvait à l’origine au No 4, depuis 1610). Junker Niklaus Wyttenbach légua le No 10 à son gendre Abraham Scholl, maire. En 1790 les frères Moser font restaurer la maison à neuf par Samuel Imhof de Berne, dans le style baroque des Huguenots. La maison fut transmise par héritage à la famille Heilmann, puis à la famille Lanz. A la cave, une colonne portant la date de 1579, le linteau de la porte de la cave porte la date de 1612. Dans la cour, une grille en fer forgé provenant du Cloître de Bellelay est l’œuvre du maître forgeron Humbert Bacon de Delémont (1710 environ). (1)
En 1790 les frères Moser font restaurer la maison à neuf par Samuel Imhof de Berne, dans le style baroque des Huguenots. La maison fut transmise par héritage à la famille Heilmann, puis à la famille Lanz.
A l’extrémité la plus basse de la Rue des maréchaux s’élevait jusqu’en 1843 la Tour de l’horloge. A l’origine c’était une des portes de la ville et elle fut réduite à l’état de prison après la construction de la Porte du Pasquart. En 1623, elle se trouve dotée par l’horloger Rapp de Stuttgart d’une horloge à quarte cadrans et d’une cloche de cinq quintaux. Lors de la rénovation de 1640, la tour est dotée d’une nouvelle flèche. Elle était dans un tel état de délabrement en 1843 qu’on la détruisit. L’horloge, la cloche et le dôme se retrouvèrent sur l’ancienne tour aux poudres, derrière le théâtre. A côte de la tour, en direction du Pont du Moulin s’éleva entre 1417 et 1745 le premier hôpital communal. Niklaus Heilmann y installa en 1745 la première imprimerie de Bienne. (1)
Quelle/Sources: 1) Daniel Anders, Biel Altstadt - Bienne Vieille Ville, Verlag/Editions Daniel Andres Biel-Bienne, Traduction française: Francoise Bühler-Mays, 1980, p59ff
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